Comme toute chirurgie, elle comporte un faible risque d’infection, d’hémorragie ou de complications nerveuses, mais ces situations restent rares.
Un gonflement, une douleur légère et parfois des ecchymoses peuvent apparaître. Des consignes post-opératoires permettent de limiter l’inconfort.
Elle est réalisée sous anesthésie locale. Le praticien dégage la dent, parfois en sectionnant la gencive et/ou l’os, avant de suturer si nécessaire.
Lorsque les dents de sagesse causent des douleurs, des infections ou des malpositions, une extraction peut être indiquée.
La chirurgie orale regroupe les actes chirurgicaux réalisés dans la cavité buccale, comme les extractions complexes, les kystes ou les freinectomies.
C’est l’ensemble des traitements visant à améliorer l’harmonie du sourire : blanchiment, facettes, composites esthétiques, etc.
Oui, lorsqu’il est encadré par un chirurgien-dentiste et réalisé avec des produits sécurisés adaptés à chaque patient.
Les facettes recouvrent uniquement la face visible des dents, tandis que les couronnes recouvrent toute la dent pour renforcer sa structure.
Ils peuvent durer plusieurs années, mais dépendent de l’hygiène bucco-dentaire et des habitudes alimentaires (café, tabac, vin, etc.).
Oui, grâce à des résines composites esthétiques qui permettent de restaurer la forme et la couleur de la dent.
C’est la spécialité qui traite l’intérieur de la dent (pulpe et canaux radiculaires), notamment lors des traitements de racines.
Lorsqu’une carie profonde ou un traumatisme atteint la pulpe, entraînant douleurs, sensibilité ou infection.
Non, il est effectué sous anesthésie locale. Les techniques modernes rendent l’acte confortable.
Selon la complexité, une à deux séances d’environ 1 heure peuvent être nécessaires.
La dent est conservée mais souvent fragilisée, c’est pourquoi une restauration par couronne est recommandée.
C’est une racine artificielle en titane placée dans l’os de la mâchoire pour remplacer une dent manquante.
Non, l’intervention se fait sous anesthésie locale. Les suites post-opératoires sont généralement légères.
La chirurgie dure en moyenne 30 à 60 minutes par implant. Une phase de cicatrisation de quelques mois est souvent nécessaire avant la prothèse.
Les implants préservent l’os et ne nécessitent pas de tailler les dents voisines. Ils offrent une solution stable et durable.
La plupart des patients, sauf contre-indications médicales sévères. Un bilan préalable (scanner, examens médicaux) est indispensable.
C’est la spécialité qui corrige les malpositions dentaires et les déséquilibres des mâchoires.
Appareils multi-attaches (bagues), aligneurs transparents, appareils amovibles ou disjoncteurs, selon le cas.
Un premier bilan est recommandé dès 6-7 ans, mais les traitements peuvent être entrepris à tout âge.
Oui, pour de nombreuses indications. Toutefois, certains cas complexes nécessitent un traitement fixe.
En moyenne 1 à 3 ans, selon la complexité et l’assiduité du patient.
C’est la spécialité qui traite les maladies des gencives et du tissu de soutien de la dent (os, ligament).
Saignements, mauvaise haleine, mobilité des dents, rétraction des gencives.
Par un détartrage approfondi (curetage), une chirurgie régénérative si nécessaire, et une hygiène rigoureuse.
Oui, grâce à un brossage régulier, l’usage du fil dentaire, et des visites de contrôle tous les 6 à 12 mois.
Elle peut conduire au déchaussement et à la perte des dents, et augmenter le risque de maladies générales (diabète, cardiovasculaire).
C’est la branche de la dentisterie consacrée aux soins et à la prévention chez l’enfant.
Dès l’apparition des premières dents, et au plus tard vers 1 an.
Oui, car elles guident la croissance des dents définitives et préviennent les infections.
Un brossage régulier dès les premières dents, une alimentation équilibrée et un suivi régulier chez le dentiste.
Il faut consulter rapidement un dentiste. Selon le cas, une réparation ou une réimplantation peut être envisagée.
